DU LABYRINTHE… A LA PLANETE MARS .
 

     J’ai précédemment révélé le véritable emplacement du Labyrinthe de la Mythologie…et l’on s’accorde désormais à reconnaître, y compris dans les milieux « autorisés », que ce que j’affirme est exact, surtout si l’on se réfère aux sites prestigieux les plus voisins, à leur signification et à la cohérence de cet ensemble.
     Le Labyrinthe de la Mythologie se trouve donc sur le territoire de Gortyne, dans la plaine de la Messara, au sud de la Crète, plus précisément encore à une quarantaine de kilomètres au sud-est du Mont Psiloritis (ou « Ida ») au sommet duquel ZEUS aurait été caché dans une grotte pour échapper à la gloutonnerie de son père Cronos .
     C’est à Gortyne précisément, là où se trouve l’Odéon qui contient les fabuleuses « Lois de Gortyne » inspirées, dit-on,
par Rhadamanthe, que Zeus et Europe se seraient unis pour donner le jour à Minos, Rhadamanthe et Sarpédon.

     Nombre de personnes m’ont exprimé leur intérêt pour cette « révélation » qui date de 1999. Aussi, pour ces personnes, mais aussi pour toutes les autres, j’ai décidé de lever le voile (« dévoilement », en grec, se dit  « Apocalypse ») à propos du « SECRET DU LABYRINTHE »…puisque ce secret est devenu d’une actualité brûlante : en cette période de crise, l’Humanité a besoin de retrouver des repères, des références pour se RE-situer et pouvoir s’engager dans le IIIème millénaire sur des bases saines.
     Le « secret du labyrinthe » est une méthode pour retrouver les balises que nous ont léguées nos très lointains ancêtres, balises qui pourront jalonner une voie permettant de mener une vie saine alors que tout est chaos autour de nous : une autre naissance, en quelque sorte

    Mais il est bien entendu que chacun demeure libre, totalement libre, à tout moment, de ne pas s’engager dans cette voie, de rester là où il est… ou d’aller jusqu’au bout. Ceci est la LIBERTE de chacun, et, en Crète, la devise est « La Liberté ou la Mort ».

    Le « SECRET DU LABYRINTHE » est inscrit dans les lieux, dans les noms des lieux où il est REELLEMENT implanté, et aussi dans la mémoire des crétois. Ceux-ci, depuis des siècles, se sont abstenus d’écrire : occupés à longueur de temps par des envahisseurs de tous acabits, les derniers en date étant les touristes… et les grecs, ils ont jalousement gardé
dans leurs mémoires leurs traditions, leur SAVOIR, leur GNOSE .Ils la transmettent oralement.
     Les « savants » de passage n’ont pu qu’extrapoler à partir des pierres, des ruines, des écrits émanant de témoins peu fiables. Ces « savants », imbus de leur propre savoir, ont projeté sur ces fragments d’un passé qui leur est étranger, leur vision très personnelle de la culture crétoise. Le dernier exemple en date, désormais reconnu comme dévastateur, même s’il a pu présenter quelque intérêt, est celui du fameux Sir Arthur Evans. Qui, aujourd’hui, après avoir parcouru « Cnossos » et lu ce qu’en a dit cet « archéologue », oserait encore craindre la menace d’un éventuel Minotaure au détour d’une allée du site
affirmé comme étant LE siège du labyrinthe ?

    Depuis 1994, et publiquement depuis 1999, je livre les informations qui m’ont permis d’être aussi affirmatif… et, grâce à celles-ci, tout un chacun a désormais la possibilité, par lui-même, d’aller vérifier « in situ » si mes propos sont fiables. Depuis ce temps, rien ni personne, n’a jamais pu trouver une quelconque inexactitude dans mes découvertes et leur exploitation… et je me suis pourtant adressé à de très grands « experts » internationaux.
    Mais depuis 1999, d’autres informations me sont encore parvenues que j’ai pu vérifier sur place ou dans divers écrits. Je me permets de vous rappeler où vous pourrez trouver ces informations dont la connaissance au moins partielle est nécessaire à la compréhension de cet article :
    - mon site Internet http://www.origines.fr.st
    - mon livre « Hors des Labyrinthes », téléchargeable gratuitement sur Internet (184  pages avec photos et plans)  http://www.horsdeslabyrinthes.fr.fm
    - divers ouvrages qui sont signalés dans la bibliographie du site « origines », notamment ceux de Messieurs GRUAIS et MOUNY.

    Plus récemment encore, depuis octobre 2000 et jusqu’à il y a peu, d’autres renseignements cruciaux me sont parvenus, et ce sont ceux-ci qui m’ont conduit à vous faire la « Révélation » présente :

    - le livre « LE ZEUS CRETOIS » de H. VERBRUGGEN, paru aux Editions « Les Belles Lettres » en 1981. On y apprend l’importance extraordinaire du Mont Ida et tout ce qui s’y rapporte dans la civilisation pré-chrétienne. On y découvre que de très grands penseurs tels Platon, Aristote, Socrate et bien d’autres était très « friands » de la Crète et de sa culture, notamment de celle qui venait du Mont Ida où Zeus fit sa première apparition sur Terre, qu’ils ont répandu partout cette culture qui rayonne encore de nos jours peut-être parce qu’elle a un caractère d’éternité…. Le Mont Ida et son Zeus, « père des Dieux et des Hommes », est incontestablement un centre spirituel de la plus haute importance pour l’histoire de l’Humanité, le berceau ou le creuset de notre culture…

    - le livre « LE LABYRINTHE, UN FIL D’ARIANE » de Myriam PHILIBERT, paru aux Editions du Rocher en novembre 2000. On y découvre l’importance universelle et intemporelle du labyrinthe à travers les lieux et les âges, ses divers sens et la convergence de ces sens. Il apparaît que tout être humain, d’une manière ou d’une autre, est sous l’influence du labyrinthe… et Myriam Philibert laisse apparaître le rôle important du concepteur du labyrinthe, avec ses intentions.

    - le livre « LE MYSTERE DE MARS » de G. HANCOCK, R. BAUVAL et J. GRIGSBY, paru aux « Editions du Rocher » en octobre 2000. Cet ouvrage pose l’hypothèse d’une « relation secrète entre la terre et la Planète Rouge ». Vous y retrouverez avec surprise de très nombreuses similitudes avec les conclusions de GRUAIS et MOUNY (précédemment signalés) avec qui, en 1994, j’ai mené diverses investigations, justement à propos de Mars et de ses relations probables avec la Terre…. Tout se passe comme si ces chercheurs, avec leurs moyens propres et une totale indépendance par rapport à mes travaux, en étaient arrivés à une même conclusion. Faut-il donner à cela la valeur d’une preuve ?
 

     Je ne puis que vous renvoyer à mon site « origines » et à mon livre pour découvrir que, depuis 1994, je faisais les mêmes affirmations en les étayant sur des bases plus assurées… Je vous signale simplement que :

        - en Crète aussi, on trouve une montagne qui a la forme d’un VISAGE contemplant le Ciel. Ce site est parfaitement connu depuis la nuit des temps. Il s’agit du Mont Youchtas , au sud-est d’Héraklion. Pour les Etéo-crétois (vrais crétois), c’est le visage de Zeus contemplant son grand-père Ouranos. Vu sous un certain angle, il y a bien un profil, c’est incontestable.
         Mieux encore : au pied du Mont qui a quasiment les mêmes dimensions que celles du VISAGE de Mars, on trouve le village d’ « Arkanès » (« Les Secrets » !!!) où on a récemment découvert les vestiges d’un temple détruit par un séisme (Santorin). Dans ce temple, des ossements humains ont permis d’affirmer qu’un prêtre et une prêtresse venaient de sacrifier un enfant et en avaient mangé la chair… pour apaiser les Dieux ?

        - en Crète aussi, on trouve une multitude de liens indiscutables avec la civilisation égyptienne. A titre d’exemple, j’en citerai un :

    La plaine où se situe le Labyrinthe se nomme « MESSARA ». Ce nom se décompose en « Mès » ou « Msès » ce qui, en copte, signifie « vie » ou « « naissance à la vie », et en « » qui, en égyptien, signifie « soleil » et désigne le Dieu Soleil.

    Dans cette plaine, on écrivait indifféremment de gauche à droite ou de droite à gauche : les « Lois de Gortyne » sont des textes de lois fabuleux, sont la source de notre droit contemporain et sont toujours d’actualité (on y parle de la présomption d’innocence et de la nécessité des preuves objectives pour déterminer l’innocence ou la culpabilité d’un inculpé !!!) ; ces textes sont gravés dans les pierres de l’Odéon de Gortyne selon la technique dite du « boustrophédon », technique que l’on retrouve utilisée sur les tablettes nommées « rongo-rongo » (« bois parlants ») de l’île de Pâques. . En « boustrophédon », la première ligne est écrite de droite à gauche, la suivante de gauche à droite, et ainsi de suite… comme si l’écriture était un sillon creusé par une charrue qui, au bout du champ, reprend son tracé dans l’autre sens.

    Le nom « MESSARA », inversé, nous donne « RAMSES »… quoi d’étonnant quand on sait que la Crète a eu une dynastie royale de « Minos » et que l’Egypte a eu comme fondateur de la dynastie pharaonique un « Ménès »…..

    - le mythe crétois de la « naissance » de ZEUS implique son arrivée  par la voie des airs, par la voie d’Ouranos (le Ciel), à travers son Père Cronos, le Temps, jusqu’à la Terre, Gaïa. Ce mythe est, au moins, commun (si ce n’est fondateur) avec ceux véhiculés par TOUTES les religions de la planète.

     Pourquoi la Crète ne serait-elle pas la crête encore émergée d’un cratère formé par la chute d’une météorite en provenance de la Planète Rouge ? Nous nous trouvons devant un superbe cercle, celui des Cyclades, avec pour quasi centre l’île de Santorin qui comporte un volcan encore actif.

     Pourquoi cette éventuelle météorite n’aurait-elle pas pu contenir des semences d’une vie qui se serait épanouie sous une forme humanoïde sur un astre devenu aujourd’hui invivable, une vie qui aurait pu reprendre vigueur et forme dans un environnement redevenu propice, une Vie qui serait dotée de cette « Force supérieure » à laquelle croient les crétois… et que d’aucuns nomment « divinité » avec les noms les plus divers ?

     Pourquoi cette éventuelle semence de vie ne comporterait-elle pas une mémoire susceptible de faire retrouver aux êtres actuels les souvenirs d’un très lointain passé ?

                 Puis-je vous rappeler que le Visage de Mars se trouve dans le site qui a été nommé « CYDONIA MENSAE », que le Mont Youchtas, Visage de la Terre, se trouve en Crète…. et qu’un des anciens noms de la Crète est…………. « CYDONIA » ?
 

      Je vous souhaite de trouver l’issue de ce Labyrinthe, comme j’ai pu la trouver moi-même. Tout ce que je puis vous dire, c’est qu’il fait bon vivre « hors des labyrinthes ».

13 avril 2001

Michel FOURNIER
 
 
 
 


 
 
 
 
 
 
 


 
 
 
 
 
 


 
 
 
 
 
 
 


 
 
 
 


 

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